le skipper, c’est moi

Cours Français, Küstenwache, TEXT

N 51° 44.313′  E 003° 50.869′  |  Scharendijke, Brouwersdam, Grevelingen Meer @ 5 Beaufort Wind, Nord-Ost, 1m Wellenhöhe

Geschichte war noch nie meine Stärke. Aber meine Aussagen glaubwürdig. Deshalb wurde ich im Französischkurs bis zu einer kurzen Lola rennt Rothaarrebellenphase auch Napoleon genannt. Klein. Aufmüpfig. Führungsstark. Mir rutschte da mal ein ‘L’État, c’est moi’  raus, als Antwort auf irgendwas, das ich garantiert nicht verstanden habe im Konversationskurs – aber alle lachten. Das Niveau des Kurses ist für meine Sprachbegabung eine Idee zu hoch. Ich rutschte da so rein, weil Lehrerin wie Mit-Francophile so unwiderstehlich waren, ich dank Stereo Total etwas französeln kann und das Thema des Schnupperabends ein von Anglizismen nur so Strotzendes war.

Da nimmt man das englische Wort und betont es französiiiisch, oder  assoziiert ‘L’État, c’est moi’ mit Napoleon und alle nicken. Bis einer Wochen später ins Zweifeln gerät, Wikipedia befragt und aus dem kleinen Napoleon Louisa Quatorze wird. Jetzt hat die an einem Siebzehnten Geborene Vierzehnte auch noch das Führen von Kleinfahrzeugen unter Segel in meerartigen Gewässern begonnen.

Einmal mit drei des Segelns unkundigen mittelalten Flamen auf einem fränkischen Wohnschiff, mehrmals mit des Segelns seit der Kindheit vertrauter, meist temperamentvoller argentinischer All-Female Crew auf einem sogenannten Weekender, der mit seinen 18 Fuß mal leicht bei Flaute an Dickschiffen vorbeizieht, oder aber bedrohlich bei Seegang schaukelt. Die Flamencrew hat gemacht, was La Capitana befohlen hat. Es war nur ein Tag, maximal drei Windstärken, der Dampfer 10 Meter lang und tonnenschwer, die Crew hatte Bier, nicht gefroren und keine Angst. VA18, Oosterschelde, 4BfAuf einem nah am Wasser gebauten 5,80m Schaukelschiff bei einem Meter Welle und fünf Windstärken, der Ungewissheit, ab wann bei wie hoher Welle eine Varianta 18 in ungünstiger Lage parallel zur Wellenrichtung umkippt, einer Argentinierin in beidseitiger Nicht-Muttersprache Sicherheit zu geben und Kommandozentrale spielen – der Skipper hat das letzte Wort, für Diskussionen keine Zeit und bei Patenthalsen keine Geduld mehr – ist eine andere Geschichte. Vielleicht gibt mir das Buch Psychologie an Bord hilfreiche Aufschlüsse zum Bändigen temperamentvoller Crew und Unterdrücken der eigenen Hilflosigkeit 😉

Saluer le président russe en français

Cours Français, francais

Même si je ne croix pas que je m’en viendrais jamais à saluer le président russe pour ma vie entière, nous avons appris une chose très importante ce soir au cours français: comment il ne fallait pas prononcer le nom du président russe en français. Quand le nom s’écrire autrement en France,  Poutine, ce n’est pas un problème avec la prononciation. Mais nous Allemands qui oublient parfois l’inverse de la langue de nos voisins, et particulièrement l’adaptation de l’écriture des noms qui ont son origine dans une langue avec des caractères autrement que l`écriture latine, commencent directement à prononcer le nom Putin en français. Putain. Bonjour, Monsieur Put(a)in. Un faux pas pour ainsi dire 😉 Peut-être c’était la raison véritable pour Depardieu d’obtenir la citoyenneté russe – il        s’attendait une putain;-)

Paraître intellectuel: Visitez un musée

Cours Français, francais

Lors d’un échange scolaire en 1992, auquel j’ai participé, je n’ai jamais compris pourquoi on nous entraînait à Versaille toute la journee, alors qu’aurait pu aussi bien visité le Louvre avec sa nouvelle pyramide en verre. J’avais quinze ans et je ne m’intéressait pas du tout à l’histoire, aux châteaux ou aux parcs et jardins. Sans aucun doute c’était la préférence de notre professeur de français qui nous accompagnait, puisqu’elle a organisé l’excursion à l’île de Mainau, quand nos correspondants nous ont rendu visite l’année d’avant. Ça n’était pas une inspiration pour s’intéresser aux musées ou à l’histoire. Peut-être que notre prof n’en pouvait plus de rester dans la grande ville avec des élèves d’un bled qui pouvaient seulement passionner pour la parfumerie des Galeries Lafayettes. La solution: un chateau ennuyeux dans la banlieue, éloigné du commerce…  …bien que j’étais fascinée par le bâtiment du Centre Pompidou…

Alors, dans ma jeunesse en Allemagne, j’évitais les musées  en général, sauf une fois quand j’ai visité une exposition sur l’impressioniste Cézanne à Tübingen. Juste avant j’ai déssiné la peinture ‘Soleil levant’ de l’impressioniste Claude Monet à l’école, à la peinture de l’eau. Ce tableau m’a impressioné avec son style, son motif – le port du Havre avec des barques de pêcheurs. Mais je croix que à ce moment-là j’y suis seulement allée pour paraître intellectuel dans la societé en regardant une exposition des beaux arts 😉 (pour la même raison j’ai lu le journal ‘Spektrum der Wissenschaft’ pendant quelques mois – je n’ai rien compris). 
 
Aujourd’hui, ça a changé. Heureusement! J’ai découvert que les choses ou l’art présentés dans certaines musées ou expositions m’inspirent. Il est possible que je cherche l’inspiration grace à un rêve où je suis artiste et j’expose une œuvre moi-même. Et quand on n’a pas de temps ou envie d’aller dans un musée, on peut composer son musée personnel dans l’internet, par exemple sur le site tumblr.com. Ou regarder des graffitis dans les rues d’une grande ville.